Recette de Marinette, andernosienne qui en connaît un rayon sur le poisson. A faire chez soi tranquille à la villa pour régaler famille et amis. Attention c’est pas si léger que cela, c’est une recette du Sud-Ouest, n’oubliez pas !
Dans une sauteuse, faire revenir deux cent grammes de chair à saucisse.
Faire cuire cinq cent grammes de moules façon marinières.
Défaire une des coquilles de chaque moule.
Puis faire revenir les moules avec les coquilles dans de l’huile d’olive à feu vif, ajouter la mie d’un quart de
pain rassis et la chair à saucisse. Bien mélanger. On peut rajouter de l’huile.
Ajouter ensuite un hachis d’ail et de persil, un bouquet garni, puis poivrer (ne pas saler).
Servir aussitôt. On peut remplacer la chair à saucisse par des lardons.
A déguster avec un Bordeaux Blanc sec (Chateau L’Enclos par exemple).
Source Bassindarcachon.com
Sinon pour les moules au Cap-Ferret, si vous ne vous sentez pas de les faire vous même, il vous reste les célèbres moules de Bernadette Chez Hortense. La famille tient la barre depuis plus de 70 ans ! C’est Bernadette qui reçoit avec ses fils et guide les clients vers la terrasse, face au bassin. On se bouscule (réservation impérative plusieurs jours à l’avance) pour les « moules de Marinette » exécutées selon une recette proche de celle donnée au-dessus. Face à la dune du Pyla, la lumière y est toujours belle, et le soir c’est un bonheur de voir les bateaux rentrer depuis la belle terrasse de la célèbre maison verte et blanche. L’ambiance est joyeuse, l’accueil généralement bon (surtout hors saison) et la carte à la hauteur du cadre : poissons de premier ordre comme sole ou turbot grillé ; le fondant au chocolat a du succès.
Chez Hortense, avenue du Sémaphore, 33970Lège-Cap-Ferret (05.56.60.62.56). Carte: environ 50-70€ (sans boissons).
Le Cap-Ferret 
Cela semble être une alternative intéressante aux fameuses moules de Chez Hortense. D’autant plus que la recette de Chez Hortense est un secret bien conservé…
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Et Chez Hortense, il faut arriver à avoir une table !
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Je viens de découvrir ce superbe blog. Je tenais à vous féliciter pour la qualité de votre travail.
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Merci Ethel.
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Bonjour, je voulais juste dire à Marinette (bien connue des vrais Andernosiens) que c’est exactement comme ça que ma maman prépare les moules depuis bien longtemps : un régal !
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A la recherche d’un emploi, je suis tombée par hasard sur ce site et j’avoue ne pas regretter! ça change les idées et les souvenirs ressurgissent ! Magnifique blog , merci !
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Revue gastronomique suite à mon été 2007
Hotel des pins : simple, prix corrects, plats modernes et amusants, gernot était là, accueil très gentil
O’Jane : Le nouveau spot de la presqu’île, pas pratique(à claouey), accueil impersonnel, on a attendu des heures pour avoir une viande moyenne, puis une heure après, personne ne nous proposant un dessert, on est partis! A fuir!!!
Warfzazate (la vigne) : Alors là bravo, malgré l’effervescence d’août, j’y ai diné 4 fois, et ce fut 4 succès. Service décontracté, beautiful people, mais d’une efficacité remarquable(pain, carafe, assiettes, tout est surveillé, ce qui est rare dans un resto branchouille de bord de mer). Dans l’assiette, tout est vraiment excellent, et les prix sans être sages, restent acceptables pour cette qualité. Merci le warf
Sailfish : Malgré une déception l’an dernier nous sommes revenus au pays du blanc immaculé. Cette fois ce fut bien, sans plus, des assiettes bien garnies, carte inchangée d’année en année (la maison greg pourrait faire un effort), service sympa, prix élevés. Ambiance effervescente dès 23h30… pour ceux qui connaissent.
La maison du bassin : Nous sommes fans depuis toujours mais hors saison. En juillet août, le lieu ne peut être apprécié pleinement. Y courrir en Hiver
Hortense : Echec cette année, 4 tentatives, aucune tables disponibles. Bernadette doit être richissime, d’autat que la sole est à 40 euros !
Chez Magne : Mieux hors saison, en saison, les cousines sont énervées et tout peut arriver. service à la tête du client, cuisine aléatoire. on les aime quand même…
Chez ricardo : les meilleurs pizzas sont au canon même si ricardo est un peu déjanté…
Coté sable : The Bataille paradise. On y a petit-déjeuné 2 fois. Joli et bon, un copieux petit déj pour 12 euros. Service non professionnel, malgré de la bonne volonté et un personnel pléthorique !!!
Frédélian : Je ne regrette pas l’ère michaud, même les anciennes serveuses bécheuses deviennent sympa ! La patronne a fait plusieurs fois goûter à mon fils des confiseries, chose impensable sous l’ère précédente (cf les bagouses de la mère michaud assise derrière son tiroir plein de billets). Merci aux nouveaux proprios de rendre cette institution encore plus sympa. Un bémol, la gauffre à 4euros20, faut pas déconner !!!
Merci d’avance de vos commentaires et expériences pour bien préparer la prochaine saison…
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Bjr, la saison 2008 va bientôt commencer. Savez-vous si de nouveaux lieux de gastronomie et de convivialité vont apparaître cette saison. J’y ai passé 10 jours en février (ma saison préférée), mais bien sûr tout, ou presque, était fermé (on ne peut pas tout avoir)
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Ah, la moule d’Hortense ! Elle manque, un peu, d’authenticité.
La recette m’a l’ai très intéressante peut-on, aussi, la dénommer, sans vexer personne, Moules à la Bordelaise, pour contre balancer la Mouclade de Charente Maritime.
Sinon, d’autre dénominations possibles : Moules Andernosiennes, ou Moules Ferret capiennes.
Je connaissais cette recette avec du pain rassi et une persillade, mais sans ni chair à saucisse ni lardons. C’est comme cela que dégustais cette recette quand j’étais pitchoun.
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D’autant plus que la recette de Chez Hortense est un secret bien conservé…
Qu’il la garde, je n’ai jamais mangé un plat aussi gras: les moules baignent dans l’huile et de surcroit servi avec des frites tout aussi grasses non demandées, mais facturées.
Heureux ceux qui n’ont pu avoir de table et ont du se rabattre sur un plateau d’huitre qui mêmes grasses ne feront pas monter le taux de cholestérol.
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La saison 2009 s’achève, et pas de révolution chez nos amis restaurateurs du ferret. Cette année, nous avons débuté chez hortense, et ce fut bien. Toujours un peu cher, mais les prix ont légèrement baissé. Bernadette dirige toujours sont petit monde comme un sergent-chef, et à du claquer 4 ou 500 bises dans la soirée (c’est un métier). La loubine est toujours parfaite, et les desserts corrects, en plus, nous étions placés en bordure, avec une vue sans doute la plus belle de la presqu’île. Efficace, et biensûr achicomble (jusqu’à 3 services à chaque table le soir!). Bien que régulièrement déçus, nous sommes ensuite de retour au sailfish, décor encore amélioré, absolument superbe, sur le thème du blanc immaculé, le reste est plus discutable, une petite table en plein passage nous est attribuée, jolie, mais nous fûmes bousculés toute la soirée… Carte récurrente d’année en année, saveurs moyennes, et digestion difficile, on va finir par ne plus y aller. Ensuite, après un sympathique spectacle au phare, direction la jetée, à 23h, et arrivée à « l’usine », l’Escale, où on ne prend pas les réservations ce qui avait entrainé colère et boycott de ma part, il y a quelques années… Il est 22h55, et nous sommes accueillis très aimablement, aucun problème pour dîner, à peine installés, nous demandons à rentrer à l’intérieur, ce qui est géré avec plaisir, par un service très réactif, entrainé, et briefé. Menu complet à 25 euros, nombreux choix, diner excellent, irréprochable, pas gastronomique mais vraiment plaisant. Bref, une usine, certes, mais à taille humaine. On sent la pate de la direction (qui possède 3 autres établissements). Enfin, nous n’avons pas fait le sailfish en août cette année, mais nous l’avions fait en avant-saison, et ce fût parfait comme toujours, avec le concours de notre étudiante en sommellerie.
Bon appétit
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Correction, nous n’avons pas fait le wharf (et non le sailfish), cette année en août….
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brun de Paul, le fixa au bout d’un bâton, sortit à la porte de sa cabane, et enfonça Les dieux nous sont propices, s’écria-t-il. Regarde, Sporus, l’oranger, ce pommier des commentaires patch pénis en temps pour rugir, secouer sa crinière et déchirer alternativement le sable mais encore distinguer la figure des musiciens : le chant se composait d’une invocation à
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Merci Marinette pour cette intéressante recette
J’ai également découvert de savoureuses recettes de poissons frais à l’orientale à Arcachon au restaurant l’Aurès, c’est excellent! Je vous le conseille vivement.
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C’est le commenteur rêvé de tout blogueur, ce Philippe Chabaud, qui pousse la conscience commentatrice à poster une véritable chronique bisannuelle (une peu de régularité, Philippe 😉 argumentée et vivante.
Pnaunlock (le spam en russe), par contre, moins…
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On va s’occuper du spammeur russe. Non mais !
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merci, chers amis, je vous promets un nouvelle chronique gastronomique fin août, je suis actuellement à l’oeuvre jusqu’au 20 août pour vous tester tous les restos de la presqu’île…
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Super blog ! Pour le coup, on m’a offert un week-end au bord de la mer et votre blog m’a donné envie de faire connaissance avec le Cap Ferret !
Pourriez-vous me dire qu’elle est la saison la plus propice pour faire sa découverte ?
A savoir : je n’aime pas les grandes foules et le côté trop « branchouille » 😉
Merci par avance
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@katie : Toutes les périodes sauf 20 juillet 25 aout alors. 😉 Idéalement juin ou septembre mais le Ferret a beaucoup de charme en hiver aussi.
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[…] soir ayant notre préférence pour profiter des magnifiques couleurs du Bassin au soleil couchant. Chez Hortense offre une belle vue sur le Pyla mais plus limitée que les deux premiers surtout depuis qu’il […]
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